On le verrait bien enfoncer toutes les portes avec sa carrure de rugbyman, pourtant Denis est aussi sensible qu’une soubrette et c’est cette double facette qu’il peaufine de film en film et qu’Ozon a très bien su exploiter dans « GRÂCE À DIEU », après l’avoir dirigé dans « Dans la maison » en 2012. Rencontre avec l’acteur.